Le web au secours de la mode pas chère

Bonjour, je prénomme Carine, la mère de trois petits enfants âgés de 3 et 9 ans. Nous vivons à paris dans le 10eme arrondissement. Je connais patatam grâce à une amie qui avait déjà vendu les vêtements de ces enfants. Elle m’a expliqué le principe de cette start-up, je me suis dit que c’était encore une nouvelle astuce sur internet pour tromper les mères. Pour dissiper mes doutes, mon amie me conseille de faire une recherche sur le web pour me faire une idée sur cette entreprise.

Ce qui m'a motivé

Au lieu de m’intéresser au site de l’entreprise, j’ai décidé de me concentrer sur les avis de leurs clients, en recherchant patatam avis. Comme d’habitude lorsque je veux me faire une idée sur une entreprise, je fais une recherche sur le commerce des vêtements d’occasion. Parce qu’il faut l’avouer, avec le travail et les années qui passent, les enfants ont accumulés des tonnes de vêtements. Apres cette conversation avec mon amie, j’ai décidé de faire un état des lieux, un audit en quelque sorte des vêtements qui n’allaient plus à mes enfants. Et là, j’ai été surprise du nombre de vêtements accumulés au fil des années. Je dois dire qu’avec la charge detravail que je traine avec moi, j’ai moi-même une entreprise de création de bijoux. Alors je ne compte pas mes heures, et mon mari est un représentant commercial pour une grande chaine de magasin. Alors trouver le temps ou penser aux vêtements qui ne vont plus à nos enfants, n’est pas en haut de la liste de nos priorités.

Une journée a suffit

J’ai du prendre sur moi, une journée entière pour dénouer ce problème, parce que c’était un problème que je venais de découvrir. Je passais souvent de secours populaire, je donne pour les associations caritatives qui travaillent avec les personnes en détresse. Mais je n’avais jamais pensé que les vieux vetements de mes enfants pouvaient me rapporter de l’argent et aider en même temps.

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